Re-belle rebelle
(Paroles Magali MOREL)
Elle croisa Schwartzy
dans une autre vie.
Monsieur Univers
était encore vert.
A la vue du gars,
elle devint fada.
Dans les salle de gym,
prise de stéroïdes,
d’anabolisants
c’était pas choquant.
c’était le saint-graal
et s’était légal.
Refrain
Carré noir pour nuits blanches,
une dernière fois, elle tente sa chance.
Car pour tout dire,
on n’a souvent droit qu’à une danse.
De leurs nuits fauves, elle n’oublie rien.
Re-belle rebelle, dans son miroir sans teint.
Une soirée péniche,
femmes aux yeux de biche,
des célibataires,
mais toutes cinquantenaires.
Face à ces Geishas,
elle ne fait pas l’poids.
Elle ose le dancefloor.
pressée sur son corps.
Epaules fabulistes,
Il faut qu’elle résiste.
Coups tous azimut
des femelles en rut.
Refrain
Carré noir pour nuits blanches,
une dernière fois, elle tente sa chance.
Car pour tout dire,
on n’a souvent droit qu’à une danse.
De leurs nuits fauves, elle n’oublie rien.
Re-belle rebelle, dans son miroir sans teint.
On devine ses pecs,
c’est du bois de tek,
à peine dessinés,
déjà ça promet.
Et de ses abdos,
elle fait son crédo.
Elle n’a plus l’âge,
elle n’a plus d’âge.
Brille dans ses prunelles,
un désir charnel,
son être rayonne,
là, elle démissionne !
Refrain
Carré noir pour nuits blanches,
une dernière fois, elle tente sa chance.
Car pour tout dire,
on n’a souvent droit qu’à une danse.
De leurs nuits fauves, elle n’oublie rien.
Re-belle rebelle, dans son miroir sans teint.